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À partir d’avant-hierFlux principal

Minuit Machine – Contradictions [2022]

8 novembre 2022 à 21:31
Par : FanXoa

Une déambulation urbaine et nocturne thaï à la Wong Kar Wai… Beau clip de Minuit Machine.

Pour en savoir plus : https://www.traxmag.com/minuit-machine-devoile-le-clip-nocturne-de-contradictions-dans-les-rues-de-bangkok/

The Clash: Tory Crimes and Other Tales [2008]

6 novembre 2022 à 20:49
Par : FanXoa

Pour les fans inconditionnels [like me], en près de deux heures l’histoire des Clash racontée par leurs proches, notamment Terry Chimes aka Tory Crimes, leur premier batteur. Une énergie incroyable non-stop de 1976 à 1986.


This film draws on extensive footage of the Clash in performance and the fascinating anecdotes the band’s original drummer Terry Chimes, Clash and Blockheads keyboardist Micky Gallagher, iconic film director Don Letts and unseen drawings and by the legendary Ray Lowry. This Program has not been endorsed by and is not an official release of The Clash, their management or associated companies.

The Clash were an English rock band formed in London in 1976 who were key players in the original wave of British punk rock. Billed as “The Only Band That Matters”, they also contributed to the post-punk and new wave movements that emerged in the wake of punk and employed elements of a variety of genres including reggae, dub, funk, ska, and rockabilly. For most of their recording career, the Clash consisted of lead vocalist and rhythm guitarist Joe Strummer, lead guitarist and vocalist Mick Jones, bassist Paul Simonon, and drummer Nicky “Topper” Headon.


Photo “à la une” : The Clash à Belfast en 1977 © Adrian Boot / urbanimage.tv

La dernière danse de Mansfield.TYA à l’Olympia

3 novembre 2022 à 11:02
Par : FanXoa

A réécouter sur le site de Radio Nova… ce n’est jamais la fin de l’histoire. Mansfield.TYA, une longue et belle parenthèse ENCHANTéE de 20 ans qui résonnera bien plus que 20 ans. MERCI xxx


Sur Radio Nova, revivez le tout tout dernier concert du duo.

Le 1er novembre à minuit, c’est la fête des morts et pour conjurer le sort, on a décidé de vous faire vivre une grande fête.  Fête triste forcément — comme disait Trisomie 21 — mais sacrée célébration de Mansfield.TYA.

Rebeka Warrior, Carla Pallone : 20 ans de carrière, de disques, de tournées, d’amitiés, de slam. Des textes d’une poésie à faire pleurer les pierres, des cordes d’une beauté à faire valser les larmes. Vingt ans de rituels et de fêtes joyeuses.

Ce 1er novembre, donc, c’était la dernière danse. Le reste, ce seront des souvenirs follement vivants.

Le dernier concert de Mansfield.TYA, à l’Olympia à Paris, c’était aussi jusqu’à la dernière note, la dernière goutte de sueur, le dernier mot, à vivre en direct sur Radio Nova.

Merci pour tout Mansfield. T(wenty) Y(ears) A(fter).

URL : https://www.nova.fr/news/la-derniere-danse-de-mansfield-tya-a-lolympia-204599-02-11-2022/


Lire également la chronique de Juliette Poulain dans Les Inrocks : “On y était : Mansfield.TYA à l’Olympia, bouquet final”. URL : https://www.lesinrocks.com/musique/on-y-etait-mansfield-tya-a-lolympia-bouquet-final-510511-02-11-2022/

Annie Ernaux – Prix Nobel de littérature 2022

29 octobre 2022 à 07:25
Par : FanXoa

Avant d’être consacrée par ce prix, je ne connaissais ni son existence, ni sa littérature. Et je me méfie des engagements politiques.

Très long et riche entretien sociobiographique d’Annie Ernaux dans le 1 : “Écrire c’est donner de l’avenir au passé”.

On a toutes et tous quelque chose de petit, d’énorme ou d’important à raconter du passé. La littérature comme acte d’émancipation sans déracinement. Annie Ernaux propose une lecture autosociobiographique et universelle de la France… Par quel roman commencer ?


Voir aussi ce rapide portrait et interview sur le 28′ minutes d’Arte (mai 2022) :

Annie Ernaux est un monument de la littérature française. Représentante du récit de soi, son écriture au plus près des faits se situe “entre la littérature, la sociologie et l’histoire”. Dans “Le jeune homme” paru le 5 mai, elle raconte son histoire d’amour avec un jeune adulte de 24 ans, alors qu’elle en avait 54. Un “Cahier de l’Herne”, paru le 4 mai, lui est également dédié.

URL : https://www.arte.tv/fr/videos/109298-001-A/annie-ernaux-le-temps-de-la-reconnaissance/

Mansfield.TYA – Olympia, 1er novembre 2022

28 octobre 2022 à 20:53
Par : FanXoa

A ne pas manquer ! Je serai mardi avec ces deux artistes magnifiques…


Après avoir rempli un Trianon, le 21 octobre 2021, Mansfield. TYA est de retour pour une nouvelle date parisienne à l’Olympia le 1er novembre 2022. À cette occasion, le duo fêtera ses 20 ans et la dernière date de sa tournée !

Concert retransmis en direct sur Radio Nova et captation vidéo également.

Mishima, la muse cachée des Bérus – Jérémie Couston [Télérama Sortir]

27 octobre 2022 à 09:14
Par : FanXoa

Reproduction ci-dessous de l’interview réalisée par Jérémie Couston pour présenter mon exposition au Forum des Images [12 octobre / 10 novembre 2022]. Article reproduit avec son aimable autorisation. Merci.

Dialectique japonaise, collage de FanXoa. Une dizaine de ses toiles seront exposées au Forum des images.

Le choix du cinéphile

Mishima, la muse cachée des Bérus

L’univers torturé et complexe de l’auteur japonais est à l’honneur au Forum des images. Une rétro mixée à une expo du chanteur FanXoa.


Un punk qui vieillit est-il condamné à s’étouffer dans son vomi ? Quel futur attend ceux qui ont martelé n’en avoir aucun ? Quand il pose le micro en 1989, après une fulgurante décennie comme chanteur de Bérurier noir, François Guillemot, alias FanXoa, reprend des études et devient vite une sommité de l’histoire du Vietnam et même ingénieur de recherche au CNRS. Passionné de culture asiatique et peintre à ses heures, il a conçu une exposition autour de Yukio Mishima (1925-1970), présentée au Forum des images parallèlement à une large rétrospective de films liés à l’univers du sulfureux écrivain japonais.


À quand remonte votre intérêt pour Mishima ?

Vérification faite dans ma bibliothèque, les premiers livres de Mishima que j’ai lus sont tous parus entre 1979 et 1981. J’avais donc entre 16 et 18 ans. Quand on le lisait à l’époque, on ne savait pas que c’était traduit de l’anglais et non pas directement du japonais… Cependant, le texte gardait une certaine fulgurance, un côté torturé qui me touchait en tant qu’adolescent. Je pratiquais aussi déjà le karaté et j’étais sensible à l’éthique romantico-samouraï développée dans la prose de Mishima, notamment dans Le Pavillon d’or, où un jeune moine bouddhiste désillusionné par la vanité des hommes incendie le temple dont il convoitait la charge.

Votre admiration pour l’œuvre de Mishima a-t-elle évolué à mesure que vous découvriez aussi l’ambiguïté de l’écrivain ?

Je ne voue aucun culte à ce personnage aux multiples facettes, à la fois icône LGBT et aussi de l’extrême droite pour l’aspect fascisant de sa doctrine. II m’a seulement ouvert les yeux sur cette culture japonaise raffinée et tordue, avec ce sens des extrêmes assez perturbant pour des esprits cartésiens. Mishima était donc une porte d’entrée très efficace sur l’univers onirique japonais présent dans les films des cinéastes de la nouvelle vague (Imamura, Oshima, Shinoda, Terayama, Yoshida…), que je découvrais à la Cinémathèque, parfois dans des copies non sous-titrées et traduites en simultané ! On y abordait les questions du corps, du suicide, du désespoir, de la cruauté, de la violence ou du rêve, de la danse (butô), du théâtre (kabuki et nô)… bref, des thématiques traitées également dans les romans de Mishima.

Comment avez-vous été amené à en faire le sujet d’une exposition ?

Pour l’un des premiers concerts des Bérus, en 1983, j’avais fait une bannière un peu provocatrice avec un portrait de Mishima le jour de son suicide. Pendant le confinement, j’ai eu envie de raviver mes souvenirs et j’ai imaginé une exposition virtuelle sur mon blog pour célébrer le cinquantième anniversaire de son seppuku. J’ai conçu une vingtaine de toiles, des peintures, des collages, aux couleurs vives. Une dizaine d’entre elles seront accrochées au Forum des images. –Jérémie Couston


Exposition «Mon moi(s) de Mishima », de FanXoa, et rétrospective «Le Japon, Mishima et moi» | Jusqu’au 15janvier 2023 | De I4h30 jusqu’à fin de dernière séance | Forum des images, Forum des Halles 1er | 01 44 76 63 00 | forumdesimages.fr | 0-7,20 € | Exposition virtuelle sur le site de FanXoa : fanxoa.archivesdelazonemondiale.fr/mishima-1970-2020/.

Source : Télérama Sortir. Édition du 12 au 18 octobre 2022, p. 35. © DR

Affiche Grrrd Zero [2022]

17 octobre 2022 à 22:15
Par : FanXoa

Belle affichette récupérée dans la rue et réparée à ma façon.

La Complainte des Ouvriers par les CM1-CM2 de l’école publique de Pugnac (33)

13 octobre 2022 à 20:00
Par : FanXoa

Belle interprétation. Bravo et merci. FX

A écouter sur la page Facebook de Molodoï :

https://fr-fr.facebook.com/groups/40943817558/posts/10160008403227559/

Lien vidéo : https://www.facebook.com/baztu.oliveira/videos/1553395945115900/?idorvanity=40943817558

Photo “à la une” : Des élèves de la classe de CM1-CM2 de Pugnac en 2010 (illustration) @ Wassmer Marie-Christine (pour Sud Ouest).

Exposition « Mon moi(s) de Mishima » par FanXoa

5 octobre 2022 à 22:09
Par : FanXoa

Deux ans après mon exposition virtuelle en ligne, le Forum des images m’ouvre ses portes. A ne pas manquer. Exposition du 12 octobre au 10 novembre 2022 dans le cadre de l’événement “Le Japon, Mishima et moi” du 12 octobre 2022 au 15 janvier 2023.

Inauguration le mercredi 12 octobre de 19h à 20h.


Exposition « Mon moi(s) de Mishima » par FanXoa

Au micro de Bérurier Noir, puis plus tard de Molodoï, FanXoa – alias François Guillemot pour l’état civil –, a consacré une exposition virtuelle en novembre 2020 à Yukio Mishima, à l’occasion du 50e anniversaire de son seppuku. L’écrivain a en effet accompagné son adolescence et, en filigrane, son existence. Un accrochage exceptionnel de dix tableaux peints à l’acrylique et collages évoquent la vie de Mishima. 

Source : https://www.forumdesimages.fr/les-programmes/le-japon-mishima-et-moi

Sisters with Transistors [Arte]

3 octobre 2022 à 21:53
Par : FanXoa

Fascinant documentaire sur “Les héroïnes méconnues de la musique électronique”. A voir et revoir sur Arte. Lien : https://www.arte.tv/fr/videos/104017-000-A/sisters-with-transistors/


Raconté par Laurie Anderson et nourri de formidables archives, un hymne aux pionnières de la musique électronique et aux horizons sonores qu’elles ont ouvert depuis les années 1930.

“La technologie est prodigieusement libératrice, elle pulvérise les structures du pouvoir. La musique électronique a attiré naturellement les femmes. On se passait des structures dominées par les hommes : radios, salles de concert, maisons de disques. Mais l’histoire semble nous avoir oubliées.”

Qui mieux que la compositrice américaine Laurie Spiegel peut résumer l’amnésie collective qui frappe les pionnières des musiques électronique, concrète ou électroacoustique ? Pourquoi son nom, comme ceux de Clara Rockmore, Daphne Oram, Bebe Barron, Delia Derbyshire, Pauline Oliveros, Wendy Carlos, Eliane Radigue ou Suzanne Ciani restent-ils aujourd’hui méconnus, quand Pierre Schaeffer, Karlheinz Stockhausen ou Pierre Henry ont atteint la notoriété ? Elles n’en ont pas moins, chacune à leur manière, défriché de nouveaux territoires, composant la bande-son d’un XXe siècle technologique, ivre de vitesse, d’énergie et de bruit. Armées de leurs synthétiseurs, oscilloscopes, platines et séquenceurs, elles ont traversé l’histoire, souvent en solitaires, des années 1950 aux années 1980, créant des ponts entre la composition savante, la scène expérimentale, le cinéma, la télévision et la publicité. Des espaces  de liberté et de créativité que le monde de la musique traditionnelle ne leur accordait pas jusqu’alors…


Disponible jusqu’au 01/04/2025

À bout de souffle – bande annonce [1960]

13 septembre 2022 à 20:31
Par : FanXoa

Jean-Luc Godard (1930-2022). Parti à bout de souffle à 91 ans. La mort volontaire en noir et blanc.

Photo “à la une” : Jean-Luc Godard et l’actrice américaine Jean Seberg en mars 1960 à Paris © AFP/Archives

A lire sur The Conversation l’entretien de Geneviève Sellier, historienne du cinéma, spécialiste de l’étude des représentations des rapports sociaux de sexe et des identités de sexe au cinéma et à la télévision :

« Une image davantage qu’un sujet » : les femmes dans le cinéma de Jean-Luc Godard

Le prototype féminin dans le cinéma du Godard, du moins jusqu’aux années 1970, est une femme-enfant androgyne, souvent étrangère, maîtrisant mal le français, opaque, une image davantage qu’un sujet : dans les films centrés sur un personnage masculin alter-ego de l’auteur (A bout de souffleLe Petit SoldatPierrot le fou), elle est l’objet d’une fixation amoureuse qui sera fatale au héros, soit qu’elle le trahisse, soit qu’elle le rende vulnérable. (Geneviève Sellier)

The Suicide Commandos – Attacking the Beat + Mosquito Crucifixion [1978]

29 août 2022 à 21:31
Par : FanXoa

Formé en 1974 à Minneapolis (Minnesota), le trio Suicide Commandos a sorti son premier 45t en 1976 (Emission Control) et un album plein d’énergie punk/garage (The Suicide Commandos Make a Record) deux ans plus tard sur le label culte Blank Records, label qui inaugura son existence avec le premier LP de Père Ubu.

Le groupe sortit un second album live avant de se saborder en 1979 intitulé pour l’occasion The Commandos Commit Suicide Dance Concert. Ils réapparaissent en 1995 lors d’une prestation télévisée (archivée sur la toile) pour l’émission Kare 11 News puis en 2017 avec l’album Time Bomb. A la manière de The Boys, des Vibrators, ou d’Eddie and the Hot Rods ils pratiquent un punk rock avec des titres courts et efficaces.

X-Ray Spex – Demo Tracks [1977-78]

28 août 2022 à 22:41
Par : FanXoa

40 minutes de son brut de X-Ray Spex avec Lora Logic (sur la photo) au saxophone…

Full energy, nice nostalgy

Goulag, une histoire soviétique [Arte, 2017]

27 août 2022 à 20:25
Par : FanXoa

En trois épisodes de près d’une heure chacun, plongée dans le système concentrationnaire soviétique. Pendant des décennies, cette histoire méconnue fut balayée et réfutée par un déni abject de la réalité. Le 3e volet parle de la terrible condition des femmes et des enfants dans cet univers brutal, impitoyable et mortifère. A regarder pour ne pas rester ignorant-es. Diffusion du 16 août 2022 au 20 décembre 2022.

Le goulag, système concentrationnaire soviétique, est demeuré longtemps méconnu. Les premiers camps sont créés en 1918, sous Staline et la Grande Terreur qu’il pratique, ils connaîtront un développement exponentiel jusqu’à sa mort en 1953. Témoignages d’anciens zeks et archives exceptionnelles lèvent le voile sur ce qui fut l’instrument de répression et d’industrialisation de l’Union soviétique.

Liens : https://www.arte.tv/fr/videos/RC-018530/goulag-une-histoire-sovietique/


Réalisation : Patrick Rotman


Illustration “à la une” : Iouri Fidelgoltz © Arte

Anges Déchus – Suzanna de Sarajevo [2001]

24 août 2022 à 21:30
Par : FanXoa

A toutes les Ukrainiennes. Déterminées !

Image “à la une” : Niki de Saint Phalle (1930-2002), “Niki de Saint Phalle en train de viser”. Photographie en noir et blanc rehaussée de couleur extraite du film Daddy, 1972 © Peter Whitehead.

Anges Déchus – Valse à Trois Temps [2001]

24 août 2022 à 21:18
Par : FanXoa

A celleux qui sont parti.es… dans les brasiers d’une Asie rêvée… Dernière valse : un poisson scorpion, un caméléon, un sabre d’acier, toutes leurs illusions.

Image “à la une” : Carolyn Carlson © DR

Anges Déchus – Carnassiers [2001]

24 août 2022 à 20:29
Par : FanXoa

Il y a déjà 21 ans. Un album qui claque et que j’aime toujours autant.

Merci Alice’s Punk Corner pour le partage.

Que vaut “Pistol”, la série sur les Sex Pistols? [France Info]

17 août 2022 à 21:07
Par : FanXoa

Pas si mal même si un peu trop sage… Personnellement cette série m’a plu, mu par une espèce de nostalgie me replongeant dans mes quatorze/quinze ans… Reconstitution costumière minutieuse, sociologiquement et graphiquement intéressant. Bel hommage à Jordan de la boutique Sex.


Lire la chronique de Laure Narlian que je partage (on voudrait plus de Siouxsie et y voir figurer de Poly Styrene !) :

Il y a du bon et du moins bon dans la mini série “Pistol” en six épisodes sur le plus célèbre des groupes punk signée du réalisateur anglais Danny Boyle, à voir depuis mercredi 6 juillet sur Disney+. Nous l’avons regardée pour vous.

Laure Narlian, “Que vaut “Pistol”, la série sur les Sex Pistols de Danny Boyle, à voir sur Disney+ ?”, France Info, 6 juillet 2022.

Lien : https://www.francetvinfo.fr/culture/musique/rock/que-vaut-pistol-la-serie-sur-les-sex-pistols-de-danny-boyle-a-voir-sur-disney_5239786.html

Les vrais Sex Pistols “Anarchy in the UK”

Voir aussi :

Michel Valentin, “«Pistol» sur Disney+ : Danny Boyle signe une mini-série totalement punk sur les Sex Pistols”, Le Parisien, 5 juillet 2022 : https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/series/pistol-sur-disney-danny-boyle-signe-une-mini-serie-totalement-punk-sur-les-sex-pistols-05-07-2022-CMCFSDKY2VGALGDUXDZI2XP7OU.php

Emma Collet, “Sur Disney+. Dans la série “Pistol”, les Sex Pistols sans le chaos”, Courrier International, 8 juillet 2022 : https://www.courrierinternational.com/article/sur-disney-dans-la-serie-pistol-les-sex-pistols-sans-le-chaos


Lien vers la série : https://www.disneyplus.com/fr-fr/series/pistol/4FicnX2KnT0V

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