Petit salut de Hanako, l’esprit des toilettes, pour la fin d’année 2022… Tirons la chasse.
Illustration : Aida iro art book : Toilet-bound Hanako-Kun © 2022
Petit salut de Hanako, l’esprit des toilettes, pour la fin d’année 2022… Tirons la chasse.
Illustration : Aida iro art book : Toilet-bound Hanako-Kun © 2022
Avant d’être consacrée par ce prix, je ne connaissais ni son existence, ni sa littérature. Et je me méfie des engagements politiques.
Très long et riche entretien sociobiographique d’Annie Ernaux dans le 1 : “Écrire c’est donner de l’avenir au passé”.
On a toutes et tous quelque chose de petit, d’énorme ou d’important à raconter du passé. La littérature comme acte d’émancipation sans déracinement. Annie Ernaux propose une lecture autosociobiographique et universelle de la France… Par quel roman commencer ?
Voir aussi ce rapide portrait et interview sur le 28′ minutes d’Arte (mai 2022) :
Annie Ernaux est un monument de la littérature française. Représentante du récit de soi, son écriture au plus près des faits se situe “entre la littérature, la sociologie et l’histoire”. Dans “Le jeune homme” paru le 5 mai, elle raconte son histoire d’amour avec un jeune adulte de 24 ans, alors qu’elle en avait 54. Un “Cahier de l’Herne”, paru le 4 mai, lui est également dédié.
URL : https://www.arte.tv/fr/videos/109298-001-A/annie-ernaux-le-temps-de-la-reconnaissance/
La “Marche Funèbre (Yrazor)” d’Anja Franziska Plaschg, sur scène, il y a neuf ans. Une artiste exceptionnelle. Cheffe d’orchestre de ses tourments.
Les ténèbres par la voix de Anja Plaschg (Soap & Skin). Incantation pour notre temps présent.
Démonstration Seveso, Lyon, 15 mai 2021.
Photos : FX 2021
Seconde fois sur ce blog.
Illustration, Fanfan, Paris, 1983.
Longue plage musicale… en compagnie de la grande pianiste française Brigitte Engerer (1952-2012) partie trop tôt.
Photographie : source Discogs © DR
Émission “Rencontres” sur Radio Canada en 1976. Retour sur mes lectures punk. Que reste-t-il des thèses de Henri Laborit (1914-1995) aujourd’hui ?
L’extrait sur Éloge de la fuite (1976) :
La totalité de l’entretien ci-après :