Jamais ne dire jamais, on ne sait jamais…
Jamais ne dire jamais, on ne sait jamais…
Sortons de notre torpeur collective avec BlackXBérus. Leur album “1983” est paru le 25 février 2021. Vous allez adorer !
BlackXBérus est un tribute et une réinterprétation de la période 1983 (Nada+Macadam Massacre) du groupe Bérurier Noir.
Alexis : Voix
Johann : Guitarefeaturings
Claude Spenlehauer : saxophone baryton sur Manifeste et Nada
Ruelgo : Bruit sur NadaGuitares enregistrées à Messac Guipry par Seb “No Nuts, No Glory” chez Philippe, Delphine, Charlie et Rose, mai 2020.
Chant, effets et merde enregistrés par Fred Pinault “Musique sans lendemain” à Vignoc, le 07 juillet 2020.
Saxophones enregistrés chez Paul Barbieri à Strasbourg lundi 25 janvier par temps calme.
Mixé par BlackXBérus, masterisé par Nicolas “Ripit” Esterle en février 2021.
Logo BlackXBérus par Bubu Graphisme
Format physique non défini à venir.
À la mémoire de Mathieu Broquerie.
À François et Loran.Merci.
Émission “Rencontres” sur Radio Canada en 1976. Retour sur mes lectures punk. Que reste-t-il des thèses de Henri Laborit (1914-1995) aujourd’hui ?
L’extrait sur Éloge de la fuite (1976) :
La totalité de l’entretien ci-après :
Belle version Noisy, Féministe et Queer de “Salut à toi !”. Merci à Amélie, Ronan, Lise et Lola. A écouter sur Soundcloud.
URL : https://soundcloud.com/user-106006093/salut-a-toi-matriarcat !
Warriorecords vous annonce :
Bonjour ! Nous sommes si heureux·se·s et ému·e·s de voir sortir aujourd’hui le nouvel album de Mansfield.TYA
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Nouvel Album Disponible
Si on connaissait jusqu’à présent le monde sensible de Mansfield.TYA : sens de la mélodie, poésie, mélancolie et minimalisme, Rebeka Warrior et Carla Pallone reviennent aujourd’hui, avec une ode poétique New wave.
Un album de mélancolie heureuse, une échappée pour célébrer l’amour furieux de la vie.
Leur (sixième) sens de la trouvaille et des rencontres les poussent vers
de nouvelles collaborations, pour trois featurings audacieux et inattendus avec Odezenne et FanXoa (Bérurier Noir).
Pour survivre en ces temps pandémique… voyage new wave sur la lune. Le grand titre de Television.
Titre du dernier album (Pleśń, 2020) du rappeur polonais Guzior. Superbe vidéo, pour les textes sous champignons hallucinogènes vous m’expliquerez…
Que reste-t-il après avoir aimé ? Comme une envie de partir… avec les chœurs de Debussy.
Mikko Franck dirige l’Orchestre philharmonique de Radio France dans les Nocturnes de Claude Debussy. Extrait du concert des 80 ans de l’Orchestre philharmonique de Radio France enregistré le 15 septembre 2017 en direct de l’auditorium de la Maison de la radio (Paris).
Romain Frélier-Borda est un garçon bien occupé. Romain Frélier-Borda joue dans tout un tas de groupes ou de projets dont on reparlera dès que possible. Mais avant ça, il y a longtemps, Romain a joué, un peu de tout, dans un projet éphémère nommé Post. Et ce projet-là t’écharpe méchamment les oreilles. Basse massive et distordue, batterie appuyant ses coups, voix monocorde et hargneuse. Ambiance dansante et désespérée, dub crâmé, relents de Public image limited qui traînent. Quatre titres qui ne font pas rire du tout pour un EP qui n’existe qu’en format numérique et qui s’écoute immédiatement ici.
Ca valait bien un repost.
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Écoutez les violons qui crépitent.
Duo de guitares électriques grenoblois qui a toute une vie derrière lui mais découvert avec ce disque. Trois plages sonores où des motifs minimaux se déploient, dérivent, s’interpénètrent, mutent et se mélangent lentement. Où leurs spectres s’étirent, se diluent, se décomposent. Distortion suspendue en eau profonde. Abstrait mais lisible.
Sun stabbed, In girum imus nocte et consuminur igni LP (Doubltful sounds)
>>>>>>>>> DOUBTFUL SOUNDS
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On n’arrête Nevraska pas comme ça. Malgré une conjoncture pas franchement favorable, le duo annecien garde la tête froide, contourne les obstacles, joue serré et présente son deuxième album en temps et en heure (pas franchement comme cette chronique qui a mis bien du temps à venir). Placé sous le signe du mouvement des droits civiques US (le bus, Rosa parks), ce nouveau disque est emballé dans une fort jolie pochette en forme d’hommage à la fois à un certain groupe post-hardcore suédois et au graphisme classique des disques de jazz. Jérémy – dit « Kick » – a remplacé Cyril derrière les fûts mais comme il jouait auparavant dans Human side avec Pascal (basse), on reste en famille.
Changement dans la continuité, donc, et on retrouve sans peine sur ce disque la formule explosive et cinématographique qui fait tout le sel et le charme du duo. Joutes rythmiques de haut-vol, tir nourri, répétitions qui font monter une électricité affolante et te traversent de part en part, magnifiée par le son à gros grain forgé dans le studio de Serge Morattel. Les samples – souvent des enregistrements de voix, récits, monologues – font contrepoint et donnent aux morceaux leur caractère narratif. Un peu comme une hybridation sous les auspices de Doppler et de Microfilm, en quelques sortes.
Mais « I left work on my way home December 1st 1955 » réserve aussi son lot de surprises. Des invités apportent leur touche et diversifient la palette. Sur le morceau d’ouverture aux accents émo-rock, « Nothing to live with the law, c’est la voix de Benjamin Prieur – qui avait été un temps pressenti pour être le chanteur du groupe mais qui est surtout celui de Nurse, autre groupe très marquant issu du même coin. Le duo s’essaye à un morceau délicat et noisy – « A bit more » – avec une colonne vertébrale électronique et un chant féminin aérien. Des gerbes d’un saxo étranglé jaillissent sur le final furieux de « Hornet vision », une guitare bluesy qui fait « Interlude » et porte le récit de Rosa Parks et un chant parlé (bon, ok, c’est moi…) sur le final de « Invisible walls » – morceau ultra efficace et absolument imparable en concert. Dans le sillage des expérimentations de Human side, Nevraska concrétise un peu plus les envies d’ouverture affichées depuis ses débuts.
Loin du lyrisme, des poses ou du formalisme convenu qui sévissent dans les scènes post-hardcore ou post-punk, Nevraska est un groupe libre, qui ne prend ses ordres de personne et n’aspire qu’à faire une musique vivante et vibrante – ou des « ziks cools », comme le dit Pascal avec son sens de la formule lapidaire. « Vous voyez la rage ? Vous voyez la jubilation ? Vous les trouvez difficilement compatibles ? Et pourtant… » dit encore le texte de présentation de l’album… Ce programme, Nevraska le tient parfaitement. Fonce découvrir cette pépite qui crépite.
Nevraska, I left work on my way home December 1st 1955 (GabuRecords, Urgence disk, Après vous records)
>>>>>>>>>> NEVRASKA
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