On sera à LA NUIT DES GREDINS avec COOL GROOVE, TODO ESTA AQUI, GRIZZLY GUILI
Salles des fêtes de VESDUN 18360
On sera à LA NUIT DES GREDINS avec COOL GROOVE, TODO ESTA AQUI, GRIZZLY GUILI
Salles des fêtes de VESDUN 18360
En 2020, Brigitte Bop racontait 25 ans de souvenirs et d’anecdotes dans un livre, proposant évidemment un sacré paquet de photos et d’illustrations (en noir et blanc) ainsi qu’une compil à télécharger.
Les 100 exemplaires étant largement épuisés, le livre vient d’être ré-édité dans une version actualisée (quelques souvenirs des fabuleuses années 2020/2022) et en couleur.
Il est disponible dans les concerts et en exclusivité sur le site Mon disquaire est mort.
Vous avez aimé (ou raté) le Come back punk rock au Dropkick de mai 2022 ?
Vous allez adorer le Retour du come back punk rock au Dropkick de mai 2023 !
Avec cette année le retour de GONOKOX !
Moins connus que les Trotskids, mais plus que les Kobolds, GONOKOX a laissé sa trace dans le punk rock hexagonal grâce à une poignée de concerts sauvages, quelques EP bien roots et un album mythique : Pays d’Caux fever. Une rondelle pleine de tubes qui est en train d’être rééditée en vinyle.
Et pour l’occasion, les rouennais décident de se reformer !
Mieux encore, ils décident de venir trainer leurs costards à Orléans pour leur 1ère tournée !
Si vous avez connu GONOKOX au début des années 90, venez vous rajeunir (ça ne peut pas faire de mal).
Si vous n’étiez pas né, venez découvrir un des fleurons du punk rock français, qui a sa place sur le podium de la discipline, aux côtés des Rats, des Sheriff et d’OTH (OK, à 4 sur le podium, ils vont être serrés).
Réviser l’album avant d’acheter le vinyle (la nouvelle version avec les paroles et Mob power qui va bien) :
Les Clache, le Joe Strummer de Jef Aérosol et le fabuleux public braillard de la Marbrerie : Strummer Fest – 9 décembre 2022
Le concert complet des Clache à Montreuil pour le
Décidément, cette année bopienne 2022 n’aura été qu’une succession d’évènements. De quoi supporter le poids des années, pandémiques ou non, sur les artères du rock n’ roll (ne cherchez pas, c’est comme les latineries du Roi Loth, ça ne veut rien dire, mais je trouve que ça ouvre bien). On a commencé avec 3 belles soirées orléano-berrichonnes avec les potos des Excités, de retour après 20 ans de silence mais avec toujours autant de vigueur. Tout est là, on le prend en pleine gueule et on en redemande, parce que ça nous plait. La rage de Richard, la frappe de Thierry à faire pâlir les Frères Tapedur, la gratte d’Edwin, aiguisée comme le gant de Freddy Krueger et l’esprit de Patrice qui flotte toujours au-dessus de la bande. Cette mini-tournée (oui, bah, on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a) a aussi été l’occasion de découvrir Crise, de jeunes berrichons qui font de la musique de vieux (si, si, ça existe encore) et qui le font bien. On est aussi retourné au caf’conc’ le plus rock d’Orléans, l’Infrared, devenu Blue Devils et désormais Dropkick Bar. Les vieux habitués commencent à ressortir de leurs tanières et le plaisir de pouvoir à nouveau se retrouver était palpable, autant autour du houblon sur le trottoir qu’à touche-touche dans la moiteur de la cave sous une pluie de décibels (bels, bels comme le jour).
On l’a surement déjà dit, mais on va aussi l’écrire, car même avec une sono de 3000 watts, les paroles (et l’audition) s’envolent et les écrits (et les acouphènes) restent. Ces 2 années de restriction de vie sociale et donc de rock n’ roll avec tout son lot de voyages, de rencontres, de retrouvailles, de partage, d’échanges, c’était vraiment relou (et je pèse mes mots). Donc, quel bonheur, en ce beau mois de juin, de pouvoir enfin retourner à Cambrai et retrouver nos potes de M 26-7 et toute leur bande de joyeux soiffards locaux. Bon, il faut quand même avouer que la traversée de Paris le vendredi à 17 H, ça ne nous avait pas trop manquer, parce que c’est toujours aussi relou (et je pèse mes mots). Mais revenons à nos boutons, comme disait P’tit Gibus. Le M 26-7 Band est un peu abimé. Nico a une cheville salement amochée qui l’oblige à béquiller et Gros Mil, alias la cantatrice chauve, annonce le jour-même sur les réseaux sociaux qu’il s’agira de ses 2 derniers concerts. Heureusement, il est aussi difficile d’altérer le moral du chti que de désaltérer son gosier en inox. Nous retrouvons donc tous les affreux au fameux Garage Café pour arroser, 2 soirs de suite, les 25 ans des M 26-7 et les je-ne-sais-pas-combien du patron du bar. Prétexte fallacieux mais suffisant pour réinstaller les amplis une fois de plus dans le bar à bruit le plus bruyant du Cambrésis. Les M 26-7 ont joué les 2 soirs et nous, on a conclu la 1ère soirée avec un set mi-figue, mi- reprises, sous le sobriquet subtilement camouflé de Beastie Bop et on a commencé le 2ème soir en mode normal (on a fait des pains sur nos morceaux). Ajoutez à ça 2 afters à la ferme arrosées de Crème de bêtises et un samedi apéro-saucisse-frite-sieste au soleil et vous aurez la recette parfaite d’un week-end peuqueroque de qualité.
Vu qu’on est parti pour privilégier la qualité à la quantité (c’est un leitmotiv depuis plus de 15 ans maintenant), quoi de mieux pour continuer cette belle année qu’une virée de rentrée en Bretagne ? Réponse : Rien. D’autant plus qu’en terme d’évènement (je vous rappelle que c’est l’idée de base de ce compte-rendu, z’avez pas lu le début ?), ce concert se pose là (et je pose mes mets … non, je pèse mes mots). J’m’explique (traduction : je ne vais pas me faire chier à refaire un compte-rendu 3 mois après les faits avec ma mémoire de fourmi anorexique alors que j’avais réussi à pondre 2 paragraphes presque cohérents sur Fessebouc. Donc, hop, copier-coller). A l’instar du poète qui hurle son spleen (ou son kif des couleurs de l’automne, ça dépend) ou du chanteur de variété qui clame son amuuuuuuur de l’Amuuuuur, le groupe de punqueroque chante sur ce qui a tendance à lui péter fortement les rouleaux. C’est ainsi qu’après trop de mois enfermés sans sa dose suffisante de décibels IRL, Brigitte Bop a pondu un morceau pandémique intitulé « Je veux retourner jouer à Clohars-Carnoët ». Ce week-end, Brigitte Bop est retournée jouer (presque) à Clohars-Carnoët et, évidemment, c’était formidable. Le lieu du concert était somptueux. Les gens (orga et public) étaient sympathiques et chaleureux. Le Chili con carne était sans effet secondaire. Les autres groupes étaient excellents. La météo était clémente (En Bretagne, il fait toujours beau) et avec mon copain Bruno Lopez, on a chanté des chansons de Renaud jusqu’au bout de la nuit. Bref, plus que jamais, je veux retourner jouer à Clohars-Carnoët.
Je veux retourner jouer à Clohars-Carnoët
Je veux retourner jouer à Cambrai
Je veux retourner jouer au Bar des PTT
Je veux retourner jouer pour des mecs bourrés
Je veux jouer dans l’Berry
Je veux jouer à Juvisy
Et à Billy-Montigny
A Tigy ou à Preuilly
Je veux jouer au bout de ma rue
Je veux jouer au Gambrinus
Et chez les Graillouteurs
Avec Lopez et les Prouters
Je veux retourner jouer à Clohars-Carnoët
Je veux retourner jouer à Cambrai
Je veux retourner jouer à côté d’Angers
Je veux retourner jouer pour des meufs bourrées
Je veux retourner jouer avec LPDB
Avec RNC, LVC, ACDC
Je veux retourner jouer pour la CNT
Je veux retourner jouer mais pas au bal masqué
Je veux arrêter de jouer devant la glace
Je veux arrêter de jouer avec un casque
Je veux arrêter de jouer devant mon écran
Je veux retourner jouer devant des gens vivants
Je veux retourner jouer à Clohars-Carnoët
Je veux retourner jouer à Bures sur Yvette
Je veux retourner jouer pour des mecs bourrés
Je veux retourner jouer pour des meufs bourrées
Octobre. Retour en terre berrichonne connue pour une nouvelle fiesta sur les bords du Cher organisée de mains de maitre par Yann Bop pour arroser ses 50 piges en musiques. C’est donc logiquement de réunions de famille qu’il s’agit, avec un S à réunions SVP, car à cet âge-là, la famille est large. Nonobstant des séminaires de préparation parfois mouvementées avec Jean-Luc, le sympathique patron de la Guinguette et les plaintes de vieux voisins étonnamment non-sourds ayant abouti à un débarquement de bleusaille 2 semaines avant notre bamboche punkoïde, le concert a pu se tenir, mais avec des horaires avancés, en mode apéro-show (19 H – 22 H) et pour tout dire, c’était pas si mal. Ça nous a permis de nous coucher plus tôt. Non, je déconne, ça a juste rallonger l’after. Mais peut-être pouvons nous évoquer les concerts avant les afters, qui, de toute façon, ne sauraient être narrées ici. Z’avez qu’à faire des groupes de rock et être copains avec Yann, si vous voulez en savoir plus sur les afters de l’intelligentsia punqueroque. Je peux juste vous dire qu’on s’est bien narré … heu … marré et qu’on a chanté plein de chansons de Renaud (comme annoncé sur les rézosocios) mais pas que. Les concerts, donc. Le vendredi fût l’occasion du 7ème concert de la triplette Bop/Lopez/Prouters en 19 ans. En trichant un peu car nous, on a joué nos reprises des Clash pour se les remettre dans les pattes pour le Strummer Fest de décembre. Le samedi fût l’occasion du 1er concert Bop/RNCS/ Vilains Clowns. En revenant sur le paragraphe précédent, vous constaterez que ça fait pas mal de cases cochées sur la To do list Clohars-carnoëtienne, mais je sens qua ça vous transcende un poil moins que moi. C’est pas grave, on continue. Tous les concerts étaient bien, il y avait un peu de monde, une bonne ambiance et tout le monde avait l’air content. Et si vous ne me croyez pas, allez vous faire f …. heu, non, pardon, je voulais dire que vous pouvez vérifier sur les ouidéos du Kamarade Melra Erix.
A peine remis de ces 2 soirées, on se retrouve dans la salle des Fêtes de Guilly (prononcez gui-yi et pas gui-li. Je sais, c’est moins rigolo mais ils ont dit que si on enlevait un L comme je le proposais, les gens risquaient de ne pas trouver le lieu du concert. Dommage) à l’appel de l’excellente asso Traquenard qui préfère nous faire jouer en octobre avec des groupes à trompette plutôt qu’en juillet avec Ludwig von 88. Je commence à comprendre pourquoi ils ont choisi ce nom. Bon, je fais mon rageux parce que je suis dans le Top 3 des fans des Ludwig (et ouais, tous les albums, deux 45 tours, 5 affiches et 8 tee-shirts, ça pèse dans le game) mais on a passé une bonne soirée en vérité. Déjà, Guilly, c’est à 20 minutes de notre local de répète. Ensuite, on a retrouvé et discuté avec plein de vieux copains. On a joué sur une chouette scène avec des purs éclairages. Et comme on était bien et qu’on jouait en dernier, on a pu achever le public avec moult reprises des Clash en rappel. On a gagné par KO. Enfin, les autres groupes étaient bien sympas … pour des musiciens. Non, je déconne. Mais, c’est vrai que souvent, les groupes avec qui on joue, plus ils jouent bien, moins on a de contacts.
Dixième (ce qui n’est pas mal pour nous. C’est presque autant que les 3 années précédentes … réunies) et dernier concert de cette année 2022. Et quel concert ! Que dis-je, quel évènement (vous ne pourrez pas dire qu’on ne vous avait pas prévenu. Sauf si … Non. J’y crois pas ! Vous avez commencé par la fin sans lire le début. Excusez-moi de ma franchise, mais c’est vraiment complètement con. C’est un compte-rendu bopien, pas un polar) ! Bon, OK, c’est en mode Les Clache, mais ça compte quand même. Quentin, le Gentil Organisateur de la soirée, nous avait déjà invités à son 1er Strummer Fest en 2014 à Agen. Il remet le couvert en 2022 à l’occasion des 20 ans (putain déjà 20 ans) de la mort de Joe Strummer pour une mega soirée à Montreuil, avec une sacrée affiche : The Von Bastards (les locaux de l’étape et sans aucun doute la caution « jeune » de la soirée, ce qui était une bonne idée pour équilibrer l’âge moyen de la soirée, comme vous pourrez en juger avec la suite des participants), Glen Matlock himself pour un show acoustique de vieilleries du siècle dernier, dont pas mal de Sex Pistoleries qu’il a composé, les Washington Dead Cats, pièce maitresse de la glorieuse époque alternative mais plus frais et vivants que jamais, Ray Gange en DJ fin de soirée et Jef Aérosol qui a réalisé en live une tête de Strummer pendant le show des Wash’. Ajoutez à ça une expo photo dans la salle et dans 2 commerces locaux à proximité de la salle, un dessinateur qui croquait les artistes, un tatoueur qui proposait des logos clashiens, une libraire anarco-alternative, une cuvée spéciale de bière locale et une tombola avec moult lots estampillés The Clash. Et ça, que pour le vendredi. Parce que la veille, il y avait un mini-concert acoustique et la projection de Rude Boy avec débat avec Ray Gange et le lendemain, projection d’un documentaire sur le Festival punk de Mont de Marsan plus débat avec un des organisateurs. Bref, la fuckin’ Classe ! Et nous là-dedans ? Bah, on a fait nos petits Clache, avec un plaisir non-dissimulé et visiblement partagé par les 500 choristes hurleurs. Et comme si ce n’était pas suffisant, on a eu le plaisir de partager le micro avec Mat Firehair from WDC sur What’s my name et White riot. Pour conclure, on a joué pour la 1ère fois London calling avec plein de gens sur scène : orga, autres groupes, potes, public. Alors, évènement ou pas évènement ? Quoi ? ça ne vous suffit pas ? Alors, on pourrait aussi dire qu’une équipe d’Arte a filmé les balances et une partie du concert pour un futur documentaire sur le punk. Et toc. En attendant que ça sorte, vous trouverez la ouidéo du concert des Clache sur le world wide pogo. Allez, la bise à vous et Bonané.
Le concert complet des Clache à Montreuil pour le Strummer Fest 2022
On y sera en version Clache avec « guests » le vendredi 9 décembre à la Marbrerie avec :
https://lamarbrerie.fr/stummer-fest-glen-matlock-sex-pistols-ray-gange-dj-set-les-clache-guests/
Toujours fidèle au poste d’avant-scène, le Kamarade Melra Erix a filmé et diffusé un nouveau show bopien.
C’est à peu près le même qu’in eul’ Berry 15 jours plus tôt, mais avec plus de lights et plein de reprises de Clash pour commencer et pour achever les derniers survivants.
Safe European Home, Bijou Bop :
Les mangeurs de grenouilles, Clohars Carnoët :
Mon punk rock Stylee, La paille et la poutre :
Conseiller d’orientation, J Malhoney :
C’est l’heure du slow (nouveau morceau), Sur le parking :
La première gorgée de bière, Les petits troquets (feat. Mickaël Zobsek) :
Garage Rochard (méfiez-vous d’Arthur) :
2 H moins quart, Moi demain :
Rappel : Camarade B, Nuit Apache :
Complete control, White man in Hamersmith Palais, Career opportunities :
Garageland, Bankrobber :
Une fois de plus, le Kamarade Melra Erix est venu immortaliser ces grands moments de punk-rock. Merci à lui.
Brigitte Bop a clôturé ce week-end aux allures de réunion de famille, mais là au moins, on ne s’engueule pas quand on parle politique.
Le rock n’ roll me colle aux groles, Bijou Bop :
Les mangeurs de grenouilles, Clohars Carnoët :
Mon punk rock Stylee, La paille et la poutre :
Conseiller d’orientation, J Malhoney :
Je ne serai jamais de droite, C’est l’heure du slow (nouveau morceau) :
Sur le parking (nouveau morceau) :
La première gorgée de bière :
Les petits troquets (feat. Edwin Excités)
Garage Rochard, 2 H moins quart :
Moi demain (fin), Mob power ( nouvelle reprise) :
Camarade B. (très vieille reprise), Nuit Apache (pas trop vieille reprise) :
Retrouvez toutes les ouidéos de ce concert sur la page de Melra Erix
Une fois de plus, le Kamarade Melra Erix est venu immortaliser ces grands moments de punk-rock. Merci à lui.
5 ans après leur dernière apparition à la médiathèque de Cambrai, c’est le retour des Clache, en ouverture de la soirée du vendredi soir :
Capital Radio, Complete Control :
Career Opportunities, Clampdown :
Bankrobber, 1977 :
48 hours, Safe European Home, What’s my name :
White man in Hammersmith Palais, Rudie can’t fail :
Garageland, Tommy Gun (avec concours) :
London’s burning :
Janie Jones, White riot, Guns of Brixton :
Retrouvez toutes les ouidéos de ce concert sur la page de Melra Erix
Anniversaire de la Brasserie Chiendent
Soirée concert avec 3 groupes
BRIGITTE BOP Twist N’Punk
DUCK YOU SUCKER Punk rock
LEE ROY MERLIN Folk Electro-Statique
Uniquement sur réservation, jauge de 200 personnes, via messenger, Sms ou mail brasserie.chiendent@laposte.net
Parking et restauration sur place.
Bière à la pression et bouteille
En manque de rythmes hydro-alcooliques ? Rien de tel qu’une virée sur Cambrai pour un énoooooorme fiesta.
Le prétexte bidon : le soit-disant double-anniversaire des potos de M26-7 et du patron du célèbre Garage Café.
Double anniv’ et donc double concert :
Vendredi soir, on sera les Beastie Bop. C’est comme B Bop mais ça va jouer un max de reprises du 20ème siècle pour finir la soirée (un peu comme un DJ, mais avec avec des instruments et surtout, tu peux toujours t’accrocher pour qu’ils te fassent un morceau d’Indochine).
Samedi, on ouvrira la bamboche finale avec du 100 % B Bop, option vieux et nouveaux morceaux.
Enfin, ça, c’est ce qui est prévu … mais personne ne sait ce qui va réellement se passer … ni qui sera capable de s’en souvenir dimanche …
Bon, le fuckin’ covid a l’air de bien vouloir nous lâcher un peu la grappe. Pourvu xa dure,comme disaient les Sheriff.
On en profite pour remettre la machine à décibels en route pour 3 dates avec nos vieux potes Les Excités, qui reviennent après 20 ans d’absence (histoire de nous foutre la honte avec nos seulement 2années au ralenti). Pour ceusses qui auraient oublié, Les Excités, c’est le meilleur groupe punk du Loiret du Monde.
On commence le VENDREDI 25 MARS à la Marmite, éternel café concert de Preuilly (les mauvaises langues diront que ça fait 3 concerts de suite à Preuilly. On leur répondra qu’étalé sur 3 années, ça ne compte pas). Le jeune combo berrichon sobrement nommé Crise viendra ouvrir la soirée et tenter de rabaisser la moyenne d’âge (qui en aura bien besoin)
Double dose de punk in eul’ Berry, on enchaîne le SAMEDI 26 MARS à Belleville sur Loire avec Branle bas 2 combat. Quand tu sais que c’est organisé par l’assos Les Baltringues de la Grande Borne, tu te dis que ça fleure bon la bonne soirée
3ème étape, au Dropkick Bar Orléans (ex-Blue Devils) le VENDREDI 6 MAI.
2 ans après le concert exceptionnel des 25 ans et demi, on espère revivre la même fiesta. On compte sur vous.
Pour ouvrir le concert du septembre à la Guinguette de Preuilly, B Bop a revêtu ses habits de lumières et sortis ses outils de rockabilly pour partager une poignée de reprises de La Souris Déglinguée en mode Rock n’ roll punkoïde.
N°1 : Yasmina, Les parents à Chantal, Une cause à rallier
N°2 : Sur la zone, Marie-France
Merci à Melra Erix pour les ouidéos
Finalement, le concert du 25 septembre 2021 a eu lieu.
Une pure soirée de punk-rock avec la crème du genre, immortalisée et youtubée par Melra Erix. Gloire lui soit rendue.
Voici l’intégralité du concert bopien découpé en 10 petits bouts :
N°1 : Bonjour, on s’appelle Gonokox, Le rock n’ roll me colle aux groles, Bijou Bop
N°2 : Zone Rurale, Les bouffeurs de grenouilles, Dans le camp des trafiquants
N°3 : L’éthique (inédit), G Malhoney
N°4 : Je ne serai jamais de droite, Les petits troquets, Garage Rochard
N°5 : 2 heures moins quart avant Jesus Lizard avec présentation des musiciens (début)
N°6 : 2 heures moins quart avant Jesus Lizard avec présentation des musiciens (fin), bla-bla avant le rappel
N°7 : rappel speed in your ass : Jamais vaincus, Le carton, Camarade B. (avec pas mal d’autres trucs dedans) (début)
N°8 : Camarade B. (avec pas mal d’autres trucs dedans) (fin), Anarchy in eul’ Berry, Moi demain, bordel avant le 2ème rappel
N°9 : bordel avant le 2ème rappel, 2ème rappel rastafari : Bankrobber
N°10 : La paille et la poutre, Wack n’ woll
Retrouvez aussi l’intégralité des shows de Prouters et des Garage Lopez sur la page Youtube de Melra Erix.
En 2007, Brigitte Bop sortait son 4ème album : Highway To punk
Un coffret CD et DVD qui peut encore se trouver dans les vide-greniers berrichons.
Malheureusement, la pandémie mondiale modèle 2020/2021 frappe de plein fouet le monde de la Culture et plus particulièrement l’organisation des vide-greniers berrichons
Heureusement, il y a Youtube !
L’album audio complet :
DVD : Le documentaire principal : Tout savoir sur B Bop :
DVD : Backstage : des gens qui parlent et du bruit :
DVD : Déviation : bêtisier :
DVD : 9 morceaux lives :
DVD : clips : 2 heures moins quart avant Jesus Lizard :
DVD : clips : Du rock au réveil :
La bande annonce du DVD :
Vu qu’on a pas grand chose d’aut’ à foutre que de mater des ouidéos, enfermés chez soi, en voici 2 nouvelles.
LA répète de mars en MondoVision 4 caméras (mais où s’arrêteront-ils ?).
Si you soune, les potos.
2021 s’annonce aussi riche en concert et festivités que 2020.
B Bop arrive à répéter au rythme effréné d’une répète par mois (sauf en février, il y avait moins de jours, on n’a pas eu le temps) pour essayer de pondre des nouveaux morceaux.
Pour partager ces grands moments de créativité artistico-bruyante, voici une paire de ouidéos filmées par un dimanche glacial de janvier 2021 avec pas moins de 2 caméras, mais aucun intermittent du spectacle pour les tenir (on n’en a pas trouver de dispo).
Enjoï
Nom de dieu de putain de bordel de merde ! Ça fait du bien ! Ça fait vraiment du bien de voir un concert de rock bruyant. Et ça ne fait pas de mal non plus d’y jouer. Petite précision pour le lecteur retardataire de 2048 et pour le lecteur qui, comme moi, préfère regarder Netflix que les chaînes d’intox continue : depuis 7 mois, on survit plus ou moins cloitrer en mode pré-post-apo pour éviter de pécho une raclure de virus qui fait caner les ieuv’ et qui rêve secrètement, dans son petit corps de virus rebondi et cruel, de tous nous transformer en Immortan Joe, le méchant de Fury Road. Sauf les chtites nenfants, parce que tout virus qu’il est, il est pote avec le Père Noël (bon, ça, je l’ai lu sur un site complotiste, donc, ça reste vérifier). Alors, pour éviter de se retrouver entuber avec 47 ° de fièvre, on n’a plus le droit de se lécher la couenne façon show bizness ni de se serrer la pince en mode bras de fer Over the top. On peut juste se cogner les coudes (c’est même pas une contrepèterie) et se foutre un masque sur le pif, comme le premier touriste nippon venu. Alors, taper un pogo dans un rade de 12 m2 en matant Poésie Zéro, c’est même pas la peine d’y penser. Mega teuf 2020 !
Donc, quand Yann nous propose un concert à la fameuse Guinguette de la Plage à Preuilly, je peux vous dire que le temps de réflexion est largement inférieur au temps d’incubation.
Evidemment, comme les seules activités de loisir autorisées par le gouvernement sont le travail qui rend libre et la sur-consommation qui rend pauvre, ce concert se fait sans autorisation et avec un minimum de pub sur les rézossocios (un tract avec Fantomas. Trop golri la vanne) pour un résultat parfait : une cinquantaine d’aficionados berrichons, une (belle) poignée de voisins de Chatillon sur Loire tendance Zobsecks, et zéro poulaga. Ce qui est une bonne chose, car il faut avouer que les injonctions préfectorales en termes de gestes barrières et distanciation sociale ont été interprétées avec une certaine souplesse, sinon un souplesse certaine.
Mais, comme disait le petit Gibus, revenons à nos boutons.
Nonobstant un rencard à 17 H en terre berrichonne, je déboule à Preuilly Beach à 19 H bien tapées, juste après l’orage annoncé la veille par Laurent Romejko, non sans avoir honteusement rejeté la faute de mon retard sur ma progéniture que je trainais au concert. Personne n’est dupe, évidemment, mais toute la troupe est trop fière d’avoir installer tout le matos (de fort belle manière, je dois l’avouer) de façon particulièrement efficace et sans moi (et vice-versa). Je m’en souviendrais pour la prochaine fois. Quelques salamalecks et papotages de retrouvaille avec les potes et on se retrouve attablés autour de pizzas XXL à se raconter divers souvenirs d’escapades berrichonnes mouvementées, bruyantes et souvent copieusement alcoolisées.
Une petit café par la-dessus et Jean-Luc, ze rigoling boss of ze Guinguette pousse les RNCS sous les sun lights.
L’avantage d’un concert qui commence avec RNCS, c’est que tu es tout de suite dans le bain. Et dans le grand bain, encore ! 40 minutes en apnée, noyé dans les décibels, bels, bels comme le jour, ça te réveille les esgourdes qui avaient perdu l’habitude. Et tant pis si la pizza n’avait pas fini son cycle digestif.
On a pris la suite et c’était chouette. On n’a pas trop mal joué et on a bien rigolé. On a foiré notre super blague sur les masques (ton masque blanc te fait vraiment une tête de gland) parce que personne n’avait de masque, mais on a passé (presque) du premier coup deux nouveaux morceaux : Les Bouffeurs de grenouilles et Dans le camp des trafiquants. On n’a pas évité l’inévitable Anarchy in eul’ Berry, Camarade Bourgeois s’est fait putscher par les Bérus et les Zobsecks sont venus lalalaler sur Moi, demain. Et pour ceusses qui ont raté ça, il y a les vidéos qui bougent de Melra Erix sur Youtube et les photos qui ne bougent pas de Jean-Luc Rafesthain sur Fessebouc. Merci à eux pour ces souvenirs, souvenirs, comme disait Djauhnny.
On s’est tous achevé avec les fabuleux Prouters qui ont fait twister les filles et brailler les gars. Malgré des pannes de micro (cette fois-ci, c’est une contrepèterie) à gogo, les Prouters ont une fois de plus fait défiler les tubes comme d’autres enfilent les perles (c’est peut-être une contrepèterie. Je ne sais pas, je n’ai pas essayé) pour un public conquis qui ne voulait plus les laisser partir.
Après 7 mois d’abstinence, la triplette orléano-berricho-essonite a visiblement pris autant de plaisir qu’elle en a donné. Ce concert, qui flirtait avec la réunion de famille, avait des vrais airs du monde d’avant. Celui qu’on aime, avec de la vie, du bruit, de la bière, desc ris, des potes et des potesses. Le genre de soirée qui donne envie de reprendre le clavier, 5 ans après l’avoir raccrocher, pour pondre un compte-rendu et continuer à partager ce plaisir, simple, d’être ensemble. Amen.
Bon, ceci dit, je me suis fait la tchave juste après et j’ai laissé les potes ranger et recharger le matos, trinquer avec Jean-Luc et s’achever chez Yann comme des sales punks. Aux dernières nouvelles, tout le monde a survécu et la 2ème vague n’est toujours pas arrivée. Vive le rock.
Crashtaste666 a décidé de réveillé le punk rockeur qui est en toi !
Merci à Melra Erix pour ses chouettes vidéos « direct from the pogo » de la quasi-totalité du concert, qui traduisent bien l’ambiance mouvementée de ce concert.
Les Prouters
Garage Lopez
Brigitte Bop
Et aussi le montage best-of de l’ami Edwin Brinon
L’addition, SVP !
25 ans et demi
+ 6 mois de préparation
+ 3 affiches
+ 3 groupes, soit 10 musiciens
+ quelques guest-stars
+ 1/2 page de pub dans le magazine municipal tiré à 64 000 exemplaires
+ 2 évènements et 48 publications facebook, partagées 36 fois
+ une salle de concert décorée avec une centaine d’affiches de concert
+ largement plus de 200 participants
+ dont pas mal du 91
+ 60 badges réalisés spécialement pour la soirée offerts aux premiers arrivés
+ 40 tee shirts et tote bags réalisés spécialement pour la soirée offerts pour tout achat aux stands
+ 2 tee shirts gagnés au concours « Mais qu’est-ce qui coule dans la Meuse ? »
+ plus de 60 morceaux joués, dont certains de plus de 20 ans
+ 1 reprises des Prouters par les Lopez
+ 1 reprises de Lopez par Brigitte Bop
+ 1 reprise du Clash par Les Prouters (pour changer un peu)
+ 65 degrés dans la salle (soit 45 degrés de trop)
+ une ambiance de folie
+ 3 ventilateurs sur scène (à peine suffisant)
+ 10 000 mercis à tous les potes et potesses
= 1 pure soirée d’anthologie
Faites chauffer la carte bleue ou le compte Paypal !
Le livre Brigitte Bop de A à Z est dispo en exclusivité sur sur le site La Distroy
Et vous pouvez en profiter pour choper des skeuds.
Pour commander le livre :
C’est un bouquin de souvenirs, alors, on va faire ça à l’ancienne !
Prix du livre : 10 €
Poids du colis : 700 g
Envoi par Colissimo (livraison à domicile)
Frais de port : 7 €
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Bastien ROUSSET
87 rue d’Ambert
45000 ORLEANS
N’oubliez pas d’indiquer votre adresse.
Pour une commande de 2 ou 3 livres : Frais de port : 9 €
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Bastien ROUSSET
87 rue d’Ambert
45000 ORLEANS
Pour une commande de 2 ou 3 livres par Mondial Relay : Frais de port : 6 € (poids du colis : 2 Kg)
Si vous voulez l’album « Les gens aiment bien » en CD dans le même colis, rajoutez 8 € au chèque, ça ne change pas les frais de port.
Le Sound Anti-System Rudy’s Back ! sera présent à l’occasion de la sortie de l’album de Pavasse ! Nouvelle co-production du micro label Rudy’s Back avec Aredje, Abracadaboum, Guerilla Vinyl, BlackMout Prod, Bastardz Records
Pour la sortie officielle du LP « Dans la rue » de PAVASSE :
Vendredi 4 octobre 20h30 Salle Emeraude, à Bressuire (79)
Entrée Prix Libre ou 10€ avec le LP
-> HPS , rap Bressuire
-> LAS KLITASS AND DICKASS, punk déjanté Poitiers
-> Kapø Blöd , street punk Bordeaux (nouvel album!)
-> Toxxic TV , punk hxc Nantes
-> PAVASSE ,punk rock Bressuire
Avec en Intermède le Sound Anti-System Rudy’s Back !
Samedi 30 Mars à partir de 20H, Rudy’s Back et la CNT 49 présentent
Concert :
Trouz An Noz (Punk-Electro – St Brieuc BZH)
Rouge Corbeau (Chanson Punk engagée – Angers)
Horny Wackers (Garage-Rock – Angers)
20 h 30 Prix Libre
tables de presse/ distro + stand de grignotage veggie en soutien à La Grande Ourse ! A L’Etincelle 56 bd du Doyenné, Angers
La CNT 49 et Rudy’s Back présentent :
“Babylon”, film réalisé par Franco Rosso, écrit par Franco Rosso et Martin Stellman (« Quadrophenia ») avec Brinsley Forde, David N. Haynes, Trevor Laird… 1980
“Blue (Brinsley Forde) est un jeune d’origine jamaïquaine, qui a du mal à trouver sa place dans la société. Victime du racisme quotidien, il se réfugie dans la musique reggae et fait partie d’un sound system reggae…”
Situé au début de l’ère tatchérienne, dans les quartiers pauvres du sud de Londres (Lewisham et Brixton), « Babylon » est un film coup de poing sur la réalité du racisme au quotidien, et sur la situation de la communauté jamaïquaine, le tout sur fond de reggae . Réalités alors très peu montrées à l’écran.
Bande originale exceptionnelle ! Le film a bénéficié de la présence au générique de Brinsley Forde, l’un des co-fondateurs du groupe de reggae Aswad qui signe une bonne partie de la bande son, mais également du DJ Jah Shaka dans son propre rôle.
Soirée suivie d’un débat + d’un sound-system, of course !
20h30 Prix libre
Les camarades de la CNT49 organisent une conférence débat autour de l’évolution de l’extrême droite en Europe : ses stratégies, ses orientations. Pour mieux la connaître afin de mieux la combattre ! et c’est à L’Etincelle, 56 bd du Doyenné, Angers !
A l’occasion de la sortie de leur 1er album LP « Secret Avengers », Rudy’s Back invite The Berbiseyans (de Dijon) à fêter ça à L’Etincelle, le 14 avril 2018, 20h30, prix libre (soutenez la scène indé) ! Ils seront en compagnie de Pavasse (Bressuire) et de Mauvaise Graine (Lorient) suivi du sound anti system Rudy’s Back avec du bon son Ska, , Northern Soul, Punk et autres……Merci à la CNT49 de co-organiser ce concert avec nous !
« Secret Avengers » est une co prod. Maloka, Guerilla Vinyl, Casual Records et Rudy’s Back. Ce sera la 22eme co-production de notre micro-label ! Mauvaise Graine et Pavasse, sortiront prochainement les albums respectifs en co-prod. avec Rudy’s Back.
Venez nombreu.s.es !!!! Enjoy !
L’Etincelle c’est au 56 Bd du Doyenné, Angers !
Hello !
Voici les podcast et playlist de l’émission du 27 septembre 2017 avec une nouveauté : La Chronique du Professeur Z qui nous cause dans le micro d’un fait historique méconnu ou peu connu dans l’histoire des Luttes. Pour cette première il parle de la « Guerre de la triple alliance ou comment le Paraguay a découvert le libre échange? » ! Enjoy !
Artiste | Titre | Album | Labels | date |
---|---|---|---|---|
Pat Kelly | It's A Good Day (1979) | Jamaican Soul | Kingston Sounds | 2010 |
Jackie Opel | I am free | Cry me a River | Studio One | |
Audrey | You'll loose a good thing | V/A DJ's Choice : She's my scotcher | Spirit of 69 | 1998 |
Toots & The Maytals | I'll Never Grow Old | I'll Never Grow Old | Studio One | 1964 |
Attila The Stockbroker's Barnstormer | Bye Bye Banker! | Bankers & Looters | Mad Butcher | 2012 |
Brain Dead | Cross the Border | Fuck Frontex Brain Dead v/s Conscious Youth | Maloka Riot Ska Pumpkin Records .... | 2016 |
Staya Staya | 1986 | Soul Gedes | 2015 | |
Retaque | Clase Trabajadora | Split Retaque v/s Demasiados Enemigos | Lucha Libre Discos Rusty Knife | 2012 |
Gigantes Magneticos | Power Of Choice | Power Of Choice | Liquidator RedHeadMan | 2016 |
Los Aggrotones | La Revancha | 10 Reggae Shots | Interrogator | 2013 |
The Movement | Fools Like You | Fools like You | The Movement Records Mad Butcher Records | 2012 |
The Specials | Ghost Town | Live BBC 2012 | ||
Loikaemie | Good Old Rich Kid Bashing Day | III | Knock Out | 2002/2012 |
Jerry Dammers The Spacial AKA Orchestra feat. Rico Rodrigues | Ghost Town | Live | ||
The Chemist and The Acevities | The Crash | Sounds From The Chemistry 4 | Maloka | 2017 |
Sham 69 | We Got A Fight | Tell Us the Thruth | 1978 | |
Desmond Dekker | Book of Rules | Single | Stiff Records | 1982 |
Hello !
Voici les podcast et playlist de l’émission du 20 septembre 2017 ! Enjoy !
Artiste | Titre | Album | Labels | date |
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Infraktion | Sois Fainéant | Sous les Pavés ...la Rage | Crash | 1996 |
Dennis Alcapone | DJ's Choice | 1973 | ||
The Ethiopians | Reggae Hit The Town | V/A Boss Reggae : 40 Reggae Scorchers | Trojan | 2012 |
The Maytones | Loving Reggae | V/A Boss Reggae : 40 Reggae Scorchers | Trojan | 2012 |
Symarip | Equality | Skinhead Moonstomp | Trojan | 2013 |
The Untouchables | Tighten Up | Trojan | 1968 | |
Inner Terrestrials | Free The Land | IT ! | Mass Prod Maloka | 2001 |
Cartouche | A Venir | A Venir | Maloka A Contrario Records Fire & Flames Rudy's Back | 2017 |
Billy Bragg | World Turn | Single Beetween The Wars | Go! Disc | 1985 |
The Dekkertones | Chase the devil | |||
Subhumans | Were is the freedom | From The Grable to The Grave | Bluurg Records | 1983 |
The Clerks | La Melancholia | Single The Sounds of The Clerks | Rocking Steady | 2014 |
The Valkyrians | Disorder | PunkRockSteady | Pork Pie | 2011 |
Ignotus | Apatrida | Ningún Lugar | Potencial HardCore | 2014 |
Smooth Beans | All Power To the People | Keep Talking | Liquidator | 2012 |
Hard Left | Hand in Hand | We're All Hard Left | Future Perfect | 2015 |
The Specials | Man at C&A | Live | ||
Mr Review | Lost Along The Way | V/A The Spirit of Ska : 25 Silver Jubille Edition | Pork Pie | 2014 |
Stone foundation | Back In The Game | Street Rituals | 100% Records | 2016 |
Clancy Eccles | The World Needs Love | Single | New Beat Records | 1969 |